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Archive for the ‘Par Gabriel’ Category

Test Advergame : Saute dans ton jean pour Bonobo #FB

Titre : Application Facebook « Saute dans ton Jean »
Adresse : http://www.facebook.com/bonoboplanet
Annonceurs : Bonobo Planet
Développeurs :
Adictiz
Année de publication :
2010
Jeux concours :
non, et c’est bien dommage
Collecte d’informations : oui

Pour les joueurs

La quasi totalité des utilisateurs Facebook français connaissent sans le savoir Adictiz, les éditeurs de jeux sociaux, bien de chez nous (cocorico) qui ont entre autres développé Paf le chien, hit Facebook, qu’on ne présente plus. Ils se risquent aujourd’hui aux développements d’advergames avec un jeu pour la marque de prêt à porter Bonobo.

L’objectif est d’envoyer le plus loin possible Tarzan ou sa copine en le faisant atterrir droit, debout dans son jean Bonobo. Le jeu reprend le gameplay du Yéti Like (qui a fait le succès des éditeurs) en modifiant légèrement l’expérience, pour la phase de lancement (avec la souris) et en maintenant l’intérêt du joueur pendant l’envolée du personnage en tentant de conserver son équilibre (clavier). Vous le savez, moi qui préfère les gameplays mainstream je ne suis pas fan de la double utilisation clavier/souris qui nuit à la simplicité de l’expérience.

Cependant le jeu s’avère de bonne qualité, assez fun. Aussi bien dans les graphismes travaillés que dans l’expérience utilisateur qui emploie les explications au bon moment et n’est pas trop intrusif dans les moments de collecte. Où l’on retrouve l’expérience d’Adictiz, c’est dans l’utilisation parfaite des outils offerts par Facebook pour booster la viralité du jeu et son aspect social – nous en reparlerons dans la partie Marketing si vous le voulez bien :). On regrettera tout de même un jeu étonnamment gourmand en ressource, qui a un peu de mal à tourner sur mon PC et le ralenti parfois (la pauvre bête).

Les notes joueurs :

Graphismes : 3/5
Jouabilité : 2/5
Durée de vie : 3/5
Fun : 4/5

Pour les marketeurs

Facebook est un tournant pour nous autres, créateurs d’advergames. La grande critique adressée à nos petites opérations fut longtemps l’effort trop important accordé à l’acquisition de trafic associé à la création du contenu et Facebook répond en partie à cette problématique grâce aux outils viraux mis à disposition par son API.

Le jeu « saute dans ton jean », utilise parfaitement ses outils pour atteindre la diffusion de proche en proche permise par la plate forme.

  • Le like : Ce petit bouton, qui parait pourtant si simple est l’objectif principal d’une opération marketing sur le réseau social. Aujourd’hui, plus de 95% des interactions se font via le neews feed des utilisateurs et capter un prospect c’est le faire cliquer sur le like, ou l’y obliger gentillement, bien sur. C’est le choix pour ce jeu qui ne peut pas être joué sans un like préalable. C’est un choix un peu intrusif, qui aurait pu être remplacé par une landing tab sur la page fan mais sur le fond, c’est parfait.

  • Les high scores : Encore un outil évidement bien adapté par les développeurs qui connaissent bien le système déjà intégré dans tous ces jeux. On peut y voir le classement des amis et le général, évidement, mais pas si simple à mettre en place.
  • Les notifications sur le wall : Partout présentes (ami battu, meilleur score). Intéressant comme elles ont été intégrées comme si le jeu n’était pas publicitaire pour jouer la carte de la viralité un maximum, et amener doucement les amis de mes amis à jouer et au like.
  • La collecte d’emails : Très légère, vraiment pas dissuasif, au moment de l’annonce du résultat, ce qui à mon avis va un peu nuire à la performance. La marque a fait le choix de collecter par l’inscription plutôt que d’utiliser l’API Facebook au moment de la demande de permission. C’est plus respectueux du joueur, à savoir si la conversion va être bonne. Je laisse les responsables nous dire ça en commentaire s’ils le veulent bien 😉

En conclusion, SAUTE DANS TON JEAN est un vrai jeu social. Son aspect publicitaire est léger et tout est fait pour jouer à fond la carte de la viralité et la diffusion de proche en proche. Un belle référence d’advergame social que la rédaction d’advergame.fr salue !

Les notes marketing :

Puissance : 4/5 si la mayonnaise virale prend !
Conversion/Collecte : 3/5
Affinité à la marque : 2/5
Bonobo peut présent dans le scénario

Temps d’exposition : 2/5
Image de marque : 2/5

Note Globale Advergame : z-plein.gifz-plein.gifz-plein.gifz-vide.gifz-vide.gif

A vous de jouer : Une marque bien intégrée dans un advergame est elle une marque discrète ?

La vidéo du Vendredi : Pourquoi n’y a-t-il pas de Lauren Feldman en France ?

21/06/2008 7 commentaires

Vous connaissez surement Lauren Feldman, un blogueur américain très critique sur la vie et le développement des start up de la Silicon Valley. Il n’hésite jamais à détruire littéralement un nouveau site (il s’attaque assez régulièrement à notre Loïc national) mais aussi à pousser des coups de gueule sur les comportements des blogueurs en général. Ici un craquage sur l’utilisation égocentrique des commentaires :

Ces critiques me font énormément de bien car elles sont souvent tout à fait pertinentes et extrêmement lucides quant aux véritables explications du développement croissant des services sociaux.

J’ai posé la question récemment sur Twitter : Comment se fait il qu’il n’y ait pas en France une personnalité correspondante, capable de critiquer de manière vive et acerbe le système du Web collaboratif ? Je trouve que nous sommes tous assez complaisants, peut être un peu trop. Par exemple, dans un récent article, Eric annonce clairement qu’il n’a reçu quasiment que des encouragements depuis l’ouverture de son blog. Cela me paraît absurde. Toute la blogosphère française se tape régulièrement dans le dos, se congratule, nous faisons une ronde bon enfant dans un monde idéalisé. Selon moi, il n’y a pas assez de clash, pas assez de confrontations ni de débats, trop de « super ton billet », « tout à fait d’accord », « longue vie à ton blog que je lis régulièrement » etc. Seuls les trolls font office aujourd’hui de contre pouvoir, et ce n’est pas franchement satisfaisant…

Thierry (qui est justement pour moi est le blogueur qui a assez d’impertinence et de recul pour devenir l’équivalent de Feldman en France) m’a rétorqué que Loren pouvait se permettre cette posture parce qu’il n’avait aucun intérêt personnel en jeu dans le Web et que son image ne pouvait pas être dégradée par son show quotidien. Après une recherche, je me suis rendu compte assez rapidement que c’était absolument faux. Feldman est le propriétaire d’une agence interactive qui réalise du contenu vidéo pour des annonceurs américains, il est ami proche de Arrington et Calacanis et récemment promu journaliste chez cnet.

Pour conclure, je dirais qu’il nous manque un Feldman d’abord parce que la France est une minuscule île dans le gigantesque océan que représente le Web mais surtout à cause d’un poids cuturel qui n’existe absolument pas au US. La liberté de parole et de ton est infiniement plus développé outre atlantique. Ils ont la culture de la confrontation, de la liberté d’expression débridée et du clash. Bref, beaucoup d’avance encore une fois pour nos cousins américains, ils ont décidement le don pour faire avancer, détruire, reconstruire et nous mettre face à nos limites. Ce sont eux qui font le Web, aussi parce qu’ils savent en quoi il n’est pas parfait.

La vidéo du Vendredi : Les histoires les plus courtes sont les meilleures

La publicité sur Internet s’organise. La problématique pour les marques est clairement de réussir à se faire entendre dans ce gigantesque Brouhaha. L’agence à aujourd’hui 2 leviers pour satisfaire ce postulat : La création, la diffusion. L’industrialisation du deuxième point est simple, les chaînes Web sont connues et un achat d’espace intelligent suffit. Seulement, pour la création, et bien c’est un peu plus subtile, trouver les bons concepts, les bons « touch points », l’idée qui fera mouche… Eh bien, pourquoi ne pas faire appel à la bonne vieille méthode du recyclage de sketch ou de stars ? C’est vrai pourquoi ?

Voir aussi Dolce Gusto

Ces publicités ne sont rien d’autre que l’industrialisation du processus de création publicitaire. 

La vidéo du Vendredi : Copé parle du futur panorama de la réglementation publicitaire

Dieu sait que je ne parle pas politique sur ce Blog, d’abord parce que ça me fatigue d’avance et ensuite parce que je ne m’en sens pas tout à fait capable (peut être un jour prochain…). Bref, il est 3h du matin, je traine sur dailymotion et tombe sur cette vidéo de François Copé. Mise à part le flux impressionnant de conneries qui relève des plus élémentaires règles de proportionnalité que débite notre ami, un point m’a particulièrement intéressé. En effet, il semble que l’État s’accorde à diminuer la quantité de publicité et donc les budgets alloués sur le robinet d’eau tiède que sont les chaînes publiques. Copé ne le voit pas car c’est un plouc, mais cette manne n’ira surement pas vers les journaux papiers qui ne sont plus lus que par les derniers combattants qui siègent probablement à l’assemblée nationale, mais vers le Web. En effet, les campagnes interactives fascinent et intéressent de plus en plus d’annonceurs pour notre plus grand plaisir. Encore faut il qu’ils soient bien accompagnés et conseillés (voir l’excellent billet de Cyril à ce sujet).

Vos commentaires sur ce billet apolitique 😉 ?

La vidéo du Vendredi : BlackBERRY Brick Breaker

25/05/2008 5 commentaires

Je m’adresse ici à tous les possesseurs de BlackBerry et plus précisement aux amateurs de ce satané jeu si addictif et énervant qu’est le désormais célèbre Brick Breaker… AHHHhhh je me meurs, quelle horreur, cette daube. Je m’explique. Voilà maintenant plus d’un mois que je joue à ce jeu de manière assez régulière, disons 30 à 50 fois par jour, quelque chose de plutôt raisonnable quoi. Seulement je n’arrive JAMAIS à passer cette horrible niveau en forme de U, le niveau 23 je crois. C’est un niveau où l’on perd toutes ces vies car la barre des briques grises colle quasiment notre vaisseau. Peu importe que l’on arrive avec 2 ou 12 vies, c’est la même chose, rien à faire, ce niveau reste imbattable, elles dégringolent les unes après les autres. J’ai tout tenté, la seule chance est d’avoir le miraculeux Bonus « attraper » qui n’arrive malheureusement qu’une fois sur mille…

Enfin, quelle tristesse..

Mon record est donc médiocre, aux alentours de 14 000, qui dit mieux ?

My pronostic pour les Lions d’or catégorie « Campagne interactive »

20/05/2008 5 commentaires

Cannes c’est aussi le moment de la récompense pour les créations publicitaires sur tous les supports et qu’on appelle les Lions D’or. Olivier de Blog de Nuit me propose de faire un retour sur cette année de créations et de me livrer à un petit pronostique dans la catégorie « campagnes interactives ». Je trouve l’exercice intéressant et je me lance avec plaisir.

D’abord, en guise d’introduction, je tiens à dire que je ne serai absolument pas étonné que la récompense soit décernée à un advergame. C’est l’expression web la plus interactive et creative. Elle immerge sans limite le consommateur et on a à plusieurs reprises répété ses qualités aussi bien pour l’annonceur que le consommateur.

Cette précision étant faite voici mon top 5 :

Orangina : Campagne d’advergaming autour d’un jeu de simulation à la Sims. Le jeu et le site sont intégrés à la campagne récente et très osée de la marque. Orangina renouvelle avec vigueur son image pour se donner une identité plus adulte et sexy. Tous les supports y compris le Web et assez activement, sont mis à l’épreuve pour soutenir cette stratégie.

Coca-Cola : Le Coke Zero Game est sans aucun doute la campagne interactive la plus aboutie de l’année 2007-2008. Peut on encore parler de Rich Media devant cette bombe et travail extraordinaire de l’agence North Kingdom qui avait déjà sévi avec l’excellent Get the Glass ?

Zaoza : Mise à part l’arrivée massive de l’utilisation de l’advergame, l’année écoulée a aussi vu apparaître le concept très apprécié semble-t-il, de « retombées Blog ». L’agence Buzzman en a fait une de ses spécialités et ainsi après le parachutiste qui s’écrase sur une vache, voici le Buzz plus judicieux il me semble autour de la campagne ZAOZA… Jolie création selon notre équipe de redacteurs 😉

Wilkinson : L’opération Fight for Kisses, même si elle n’a pas déchainé les passions des puristes du gaming que nous sommes à cause des problème de l’advergame 3D associé, cette campagne a été un succès magistrale sur le Web avec une vidéo vue par plus de 3 millions d’internautes. Surfer sur la vague des tabous psychalisant paye encore de nos jours…

Entremont : Vous l’aurez sans doute deviné, c’est le grand challenger pour cette compétition si prestigieuse. Entremont et sont advergame exceptionnel : Le tape taupe où il faut botter des souris avec un marteau ! Encore une campagne de grande qualité. Décidément les marques de fromages aiment le risque. Pour notre plus grand bonheur… 😉

Voila pour mes pronostiques… Qu’en pensez vous Diane, Aziz, Benoit, Marty, Cédric, Olivier et Raphael ?

Catégories :Actualité, Par Gabriel

Les entrepreneurs à l’ancienne se font entendre

Voici 2 contenus à déguster absolument si vous avez été intéressé par mon dernier article intitulé « je suis un entrepreneur à l’ancienne« . Jeremie Berrebi de Zlio (sur son blog) et Dylan Goubin-Dahan (chez Geekement correct à partir de 07:17) de Neobe abordent les problématiques de levées de fonds et la dialectique subtile qui s’opère entre ce concept et le développement ad nihilo d’un business.

Je suis très heureux de voir le réalisme et ambitions de ces 2 grandes personnalités. Je pense sans conteste et de plus en plus que la levée de fond fonctionne uniquement pour un nombre très restreint de « stars ». Pour la grande majorité des créations : le développement grâce aux clients, l’autofinancement, la prospection commerciale jusqu’à l’épuisement restent les fondamentaux qui feront la richesse de votre projet.

Catégories :Actualité, Par Gabriel

La Vidéo du Vendredi : Comment votre mobile peut vous aider à éviter des boulets ?

17/05/2008 3 commentaires

En utilisant le dernier service encadré par le désormais très célèbre incubateur californien YCombinator : LOOPT. Ce service hybride entre mobile et Internet (très 3.0… ?) est une petite révolution qui permet par un système de géolocalisation de voir en tant réel sur une google map et sur votre téléphone portable où se trouvent précisément vos amis : dans le métro, au travail, au supermarché…

_Ah tiens, Philippe prend le métro, Janine est au cinéma avec Pierre alors qu’elle m’a dit qu’elle ferait une soirée entre filles avec ma femme… C’est louche… Non c’est la réalité ! Et c’est grâce à Loopt…

De plus une synchronisation simple et rapide avec Facebook vous permettra d’avoir rapidement la liste des amis que vous pouvez « pister ». Imaginez lorsque le service sera ouvert : Vous entrez dans un bar, votre mobile vous indique que la blonde en face de vous est « single » et disponible pour une « open relationship », que le gros barbu à votre droite travaille dans le même secteur que vous et qu’il aime bien discuter business avec sa bière etc.

Mon avis sur ce service un peu intrusif, un peu liberticide: Personellement, je ne suis pas choqué contrairement à la plupart des personnes auxquelles j’ai parlé de ce produit. Comme pour Facebook, même si l’implication peut bouleverser radicalement un quotidien, les inscriptions restent des choix personnels et responsables. Ne pas être présent et actif ne signifie pas une marginalisation radicale et j’en connais même qui ne sont pas sur Facebook et qui se portent plutôt bien. J’imagine que les français seront tout de même réticents mais que cela va s’emballer aux US et Japon moins prudents.

Qu’en pensez vous ? C’est fou non ?

La Vidéo du Vendredi : Developers Developers Developers

11/05/2008 1 commentaire

Je vous transmets cette vidéo pas seulement parce qu’il semblerait que le DG de la première entreprise d’informatique mondiale prenne des acides… mais aussi pour réfléchir sur un point important du e-business de nos jours. Les développeurs sont de l’or. Il est extrêmement difficile de trouver le bon, qui va comprendre et mettre en œuvre le projet imaginé, et quelque soit le langage. Rajoutons à ceci la pénurie mondiale de cet élément décisif de la chaine de production informatique…

Bref j’ai ici plusieurs annonces pour des projets toujours plus originaux et intéressants les uns que les autres…

N’hésitez pas à me contacter (gabriel.mm@virtuadz.com) si une de ces annonces vous intéressent ou si vous avez une piste. Je transmettrai à qui de droit…

Project number ONE : Start up Californienne (ça fait rêver)

Développeur : OpenGL pour gérer les animations d’une application iphone.

Project number TWO : Un site Web dans le secteur du journalisme avec une idée très intelligente

– Ajax
– PHP 5
– My SQL
– Mootools
– CSS

Project number THREE :

La c’est pour moi, une développeur RIA S’IL VOUS PLAIT !! B-)

Je suis un entrepreneur à l’ancienne

05/05/2008 8 commentaires

Rockfeller

Beaucoup d’éléments m’ont récemment poussé à m’arrêter 5 minutes sur mon interprétation personnelle du statut d’entrepreneur.

Ceux qui me suivent sur Twitter savent que 2 de mes amis proches sont actuellement a San Francisco. Nos discussions quotidiennes m’ont permis de comprendre les différences de mentalités entre nos 2 cultures d’un point de vue de nos appréhensions du Business sur le net. La problématique globale qui semble émerger de nos discussion est la suivante : Y-a-t-il une différence entre un entreprenaute et un créateur dans une industrie traditionnelle ?

Aujourd’hui le modèle économique du Web est représenté dans les mentalités collectives par celui de grands ambassadeurs du 2.0. Les résultats concrets de ces sites se mesurent grâce à un indicateur assez original : le trafic (traction en anglais). En effet, pas la peine d’espérer une première levée de fond si vous n’avez pas votre premier million d’utilisateurs et une stratégie claire pour en atteindre 100. Ainsi la plupart des start’up qui se lancent osent souvent se comparer à un Facebook ou un Youtube. Les entrepreneurs Web 2 ont ce discours. Ils présentent leur société comme le suivant service aux 20 millions de membres en oubliant malheureusement souvent qu’il n’est pas le seul et que sur les centaines de milliers de sites mis en ligne sur 1 année, les succès se comptent sur les doigts d’une main. Ici, on cherche de la croissance avant tout, de la visibilité, une marque : Conclusion, on veut être une star. C’est vrai, qui ne connait pas Zuckerberg et son histoire incroyable de piratage du système informatique de Harward ? Qui ne s’est jamais ému de la charmante compagne de Larry Page ? Lequel des entreprenautes français rempli de passion égalitariste n’a jamais jalousé Benjamin Bejbaum et sa merveilleuse ascension ?

Vous l’aurez bien compris, je ne mange pas de ce pain la, je suis tout sauf une star, je suis un entrepreneur besogneux. Je suis à l’ancienne, je ne pense qu’au chiffre d’affaire, qu’à ma trésorerie qu’à mes résultats financiers. Je ne crois pas aux entreprises sans client. Je suis un de ceux qui pensent que ce sont les clients qui doivent être le moteur d’une entreprise (Quelle originalité !), plus ils sont satisfaits du service rendu plus vous bénéficierez de récurrences, plus de récurrence signifie plus de marges à terme. Je vous assure que cette série d’évidences n’est absolument pas la plus partagée au fil des rencontres que j’ai pu avoir dans le monde du Web depuis maintenant 2 ans !

Je rappelle donc et en toute simplicité qu’il y a des fondamentaux entrepreneuriaux qui m’obsèdent et qui sont parfois perçus comme des arguments d’un ancien temps par les plus web 2 de mes contacts ! Les choses sont désormais claires… surtout dans ma tête en fait 😉

Amitiés vidéo ludiques !

Sources :

Merci à John Kuskus pour ce lien qui résume parfaitement à l’américaine ma pensée !

Skyblog

Interview vidéo excellente de Benjamin Bejbaum

Catégories :Actualité, Par Gabriel